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Liste des Albums et Chansons

Album Coureur de Bois et Neiges Tardives

Coureur de Bois

-- Album Neiges Tardives --
Anges noirs
Frontière d’Espagne
Neiges tardives
Molécules
Vents marins
On s’demande

Album Déraisonnable

Déraisonnable
Essaye encore
Fleur de février
HD Dynamics
Kolyma
On bouge
Mary Lou
Surfaces
Des voyages

 

Album Tiphaine

Tiphaine
Amérique
Altitudes
C qu’on pourrait
Étoiles (inédit)
Métro (inedit)

 

Album Atlantique

Atlantique
Volé donné
Anis coriandre et curcuma
Vents contraires
Rivières de …
20 ans
J roulais
Particules
Europe

 

Album Lumières

Maison derrière
Chemins de pierre
Deschutes river V2
Bois sec
Tristesse du temps
Voyage Nowhere
Lumière dans les yeux
Nisyros

Rock.

" La musique exprime ce qui ne peut être dit et sur quoi il est impossible de rester silencieux. "

— Victor Hugo

 

"Custom" and "Blender" Brian Porter Pickups

Voyage Michel Berthet Voyage Michel Berthet

Album Lumières

Elightment…

Maison derrière

C’est une maison derrière
Sur un chemin de pierres
bien loin des autoroutes

dernière étape avant les hauts
les pics, les combes et les crevasses
les cols, les crètes et les ramasses

poste avancé vers la liberté
poste avancé vers la clarté

Et puis les efforts mesurés
grand manteau blanc
grand silence blanc
vent glacé sans pitié

Et puis ciel bleu d’espoir
Et puis ciel noir désespoir
crissements fracas
ambitions dégonflées

en avancée vers la liberté
en avancée vers la pureté

Et les arètes des triomphes
Et arètes des désastres
pas loin pas loin l’éternité

le monde en haut le monde en bas,
le monde en haut par effraction
le paradis sans permission

ou bien les chairs déchirées
ou bien les rèves déchirés

C’est une maison derrière
Bien cachée par les lierres
Sur le chemin d’la liberté….


Chemins de pierre

Et meme si tu suis tous les chemins de pierre
Tous les chemins de terre et le grand sahara
Et même tu fais tous les vœux qui enserrent
Tous les voeux de saint pierre et ceux de fatima

Et même si tu suis toutes les rivières
Les cailloux rabotés et tous les grands delta
Et même si tu t’en vas dans la foret primaire
Sous les grands arganiers et les plantes à coca

Jamais au grand jamais tu ne retrouveras
Les chemins de tes 10 ans

Cours la plaine…cours le vent
Cours la plaine… cours le temps

Et sur les grands vaisseaux d la reine d’Angleterre
Des confins d’Argentine jusque dans le noroit
Sur les grands océans si la bas tu te perd
Et oublie tes défaites chez les filles a soldats

Et même si tu sers aux divisions grises
Et brandis l’étendard pour je n’ sais quel combat
Si un jour tu reviens des aventures grises
Et défile au matin pour je n sais quel pacha

Jamais au grand jamais tu ne retrouveras

Les chemins de tes 10 ans
Les chemins de tes 10 ans

Mais si un jour à Limoges, Dakar ou à Nankin
Une brune aux yeux de braise une blonde au cœur serein
Ramenait la lumière dans un regard éteint
Et échangeait tes rêves contre un bout d chemin

Trouvera tu enfin trouveras tu enfin
un peu de tes 10 ans
un peu de tes 10 ans


Deschutes river V 2

Mon ame est quelq part du coté des Sisters
Parfois sereine, parfois pas
Mon cœur est
Quelq part sur la Deschutes river
Un peu plus haut un peu plus bas

Toi …t’es restée à planer dans l vent des collines
Dans le grand grand ciel bleu installé sur la ville
Prés des Tumallo falls qui bondissent de colère
Dans le chant d’ un banjo qui appelle et qui erre
Sans toi… sans toi

Moi .. j suis plus dans la chaleur qui ondule les terres
Plus dans les camions sans fin qui filent en éphémères
Loin des trains lourds aveugles qui trainent à raz de terre
Loin des grands troupeaux noirs aux démarches guerrières


Ici le Ciel peut être entend mieux les prières
Loin au d’ssus des maisons et des grands pins qui serrent,
Qu’il te protège toi et tes amis des rivières
Des grands froids et du vent, des orages, des éclairs
et de c qui fait mal sur terre

Et quand la neige d’hiver reviendra aux sisters
que reviendra la paix et le grand silence blanc
je serai je serai aux sisters aux rivières
pour un dernier bike ride de retour aux riviéres
Avec toi … avec toi


Bois sec

Il va bruler comme du bois sec
IL le cœur trop en avant
La révolte est sa maitresse
Elle le dévore, elle est en lui

Il lui faudrait un capitaine
Pour le chemin, et un ami
Pour traverser les tempètes
Cet homme qui jamais ne plie

Il est de toutes les révoltes,
des soulèvements, des évasions
Sur tous les bateaux sans pilote
Qui voguent vers les oppressions

Il brule comme du bois sec
Il est comme un feu de paille
Déjà a moitié cramé
Déjà a moitié noirci

Il me fait peur mais pas question
que j m’en aille que je plie
tant qu’il est pas loin de ma rue
pas loin de mon cœur aussi

il est de tous temps, de toutes les époques
de toutes les nations ….


Tristesse du temps

C’est juste un rien sur la tristesse du temps
Une robe du soir pour une soirée gachée
Une fille triste dans l métro a coté
Un enfant qui n’aura pas c’qu’il veut
Un m’sieur agé au regard fatigué


C’est une caravane envahie par les herbes
Qui dit nos rèves enfuits, a coup de fleurs jolies
Sur fonds de rocailles et d’ prairies d’Virginie
Qui dit le temps enfui, déjà parti
Une tombe heureuse en somme

C’est juste un r’gard sur la beauté du ciel
Le matin, quand se lève le soleil
Le grand ciel bleu n’ importe lequel
ll parle de dieu oui mais duquel ?

Laisse courir, tout peut être évité

C’est just ‘un r’gard sur les ivresses du cœur
Quand débarquent les amours corps à cœur
Amours toujours, amours d’une heure
Amours amours n’importe lesquels

Laisse courir, tout peut être évité
les grands devoirs,
les grands sacrés
Laisse courir, tout peut être évité
Sauf les soleils du monde.
Sauf les soleils du cœur


Voyage Nowhere

Le temps m’avait tiré quelques coups de tromblon
L’océan m’avait tiré quelques coups de canon
Les plantes m’avaient r’filé quelques extrèmes onctions
Les femmes m’avaient laissé parfois à l’abandon

J’étais seul sur le chemin a part quelques lapins
Et marchand à bon train vers un grand incertain
Et c’était l’ genre de ch’min qui mène pas au lendmains
Et qui chante jamais ni le soir, ni l’matin

En route pour nowhere …. department finistère
En route pour nowhere … départment fin d’la terre

J me suis dit mon pépère reste pas dans cette galère
Les rêves et les mirages ils sont toujours derrière
Toujours plus loin , toujours au d’là
Va donc voir Henriette et son ptit home sympa.

J’y ai dit j’m’appelle Ulysse, j’ai fait un beau voyage
J’vais t’raconter tout ça viens donc ma belle image
Elle m’a dit a te v la tu coucheras dans l’garage
Mon Dédé va rentrer j lui prépare son café

Vertige du voyage …adieu ma belle image
Vertige du voyage …..

Et ….

J’étais seul sur le chemin a part quelques lapins
Et marchand à bon train vers un grand incertain
Lala la lala ……


Lumière dans les yeux

Tant qu’on aura d’la lumière dans les yeux
Tant qu’on aura un seul cœur pour deux
Tant qu’on aura un chemin vers le ciel
Tant qu ’on verra le matin le soleil

Quoi de plus quoi de plus quoi de moins
Avec ceux qu’on aime ou alors sans témoin
Pas trop vite …… pas trop moins
Par les chemins de traverse, de Merlin

On ira
Vers les couleurs du monde
On ira
Vers les couleurs du monde

On ira pas dans les palais les palaces
On ira pas chez les guerriers voraces
Y a rien à donner, rien à attendre
Ya rien à espérer et rien d’bon à prendre

Quoi de plus quoi de plus quoi de moins
Avec ceux qu’on aime ou alors sans témoin
Pas trop vite ……. pas trop moins

Par les chemins de traverse, de Merlin
On ira
Vers les couleurs du monde
On ira
Vers les couleurs du monde

On ira suivre les loups à la trace
Avant que les sentiers ne s’effacent
La ou le monde est encore vivant
La ou les hommes sont encore fascinants

Loin de la ligne grise des autos
Loin de la vie grise des métros
Des grandes cités qui prennent la vie tot l matin
Par les chemins de traverse, de Merlin

Tant qu’on aura d’la lumière dans les yeux
Tant qu’on aura d’la lumière dans les yeux


Nisyros


SI tu me vois trainer sur le port de Nisyros
Tout délavé, le corps brulé par le soleil


La peau si près des os qu’aucun chat n’en voudrait
Ne sois pas triste, surtout n’aie pas de peine


Ne me juge pas … peu importent les apparences
La mer a ses réponses, sa lumière, son fracas
Elle dit toujours toujours, les amours recommencent
Et font le cœur plus beau et la douceur des jours


Si tu me trouves dans un verger …de Nisyros
Sous un toit transparent … dans des murs fatigués


Dis toi que les étoiles ici sont les plus belles
Et bercent les troupeaux comme à l’aurore du monde


Ne me juge pas et peu importent les apparences
Dis toi bien dis toi bien au plus profond de toi
Qu’ici, toujours, toujours, les amours recommencent
La lumière est plus belle, et le bonheur immense


Si un jour tu me trouve sur les roches noires de Nisyros
Tout raidi aussi blanc aussi froid que la mort


Surtout ne sois pas triste surtout n’aie pas de peine
Les jours enfuis tiennent chaud et les tombes sont sereines … ici


Regarde bien, regarde bien au fond de toi
Regarde les étoiles et les villages blancs
Écoute bien la mer, son langage, son fracas
Ici est mon plus bel endroit, toute la douceur du monde

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Voyage Michel Berthet Voyage Michel Berthet

Album Déraisonnable

Déraisonnable


C’était un temps déraisonnable
Les nuées s’accrochaient aux arbres
et moi je n’y comprenais rien
et moi je n’y voyais plus rien


toi tu te vidais de ton âme
de ton corps et de ta came
de ton enfance et de moi aussi
de ton enfance et de moi aussi


moi je me raccrochais aux branches
des vieilles certitudes qui tranchent
persuadé dans l’avalanche
d’être encore capitaine ici


les pensées noires brulaient nos âmes

fin guit
sur des sentiers de mauvaise trame

fin guit

la ou les vies sont en sursis
fin guit


Les journées grises de mauvaise bise
Nous livraient de furieux assaut
Et dans ma tête sous emprise
Enfilaient de vilains manteaux


toi tu te vidais de ton âme
de ton corps et de ta came
de ton enfance et de moi aussi
de ton enfance et de moi aussi


Mais je savais au fond de mon âme
Que nous étions du même lit
que s’il fallait mourir en guerre
je s’rais parmi les guerriers meurtris


les pensées noires brulaient nos âmes
sur des sentiers de mauvaise trame
la ou les vies sont en sursis


Essaye encore

T as fait la somme … de tes résistances
De tes victoires… de tes redditions

T a vu les nuages .. qui défilent qui défilent
T’as vu l’eau grise … qui file sous les ponts

Essaye encore
Le monde d’avant les pilleurs
Le monde d’avant les voleurs
L’Montana ou les iles
Ou alors
Las Vegas et les filles
Les dollars, les dollars et tout c’qui brille
Les dollars, les dollars et tout c’qui brille

Bk solo

On partait de rien on voulait tout,
Villes glacées, soleils d’hiver, on n’ craignait rien
On a traversé tous les marais malsains
Pour se chercher, pour se chercher, d’autres lendemains

BK

Essaye encore
avant qu’on soit comme des rnards
Enfumés dans la tannière
Dans c’qui n’mène a rien

Essaye encore
Le monde d’avant les pilleurs
Le monde d’avant les voleurs

Essaye encore,
Essaye encore
Essaye encore …


Fleur de février

Je l’ai trouvée au bois, pas au bal des princesses
Oiseau tombé du nid, étourneau sous la pluie
Tellement jeune et fragile et tellement mignonette
Déjà dans les histoires d faux amours tarifés

Une fleur de février

Mais ou étaient les siens et tous ceux chérissent
Ils l’ont laissée partir emportée par la bise
Et les vents mauvais

L’est montée sans sourire dans une berline grise
Avec des hommes en gris, des hommes aux ames grises

La fleur de février
Sitot éclose, sitot jetée

Faudrait oser, revnir aux grands feux d’ fin d’hiver
Faudrait revnir au temps du bagne, au temps du bagne et des galères

Et voir bruler sans regret quelques uns qui piétinent
Le temps de la jeunesse, les rèves, les chimères
Des fleurs de février

Et voir bruler sans regret quelques uns qui piétinent
Le temps de la jeunesse, les rèves, les chimères
Des fleurs de février


HD Dynamics

Il parcourait l’Essonne en Harley Davidson
Quand un camion la jarté
L’était pas dans l’Essonne mais loin dans l ’Oregon,
En Harley à sacoches frangées

Du coté d’ Klamatah
Remontant vers Warm Springs
Par la 97
Y s’disait qu’y passrait voir les indiens d’Maupin
et la Deschutes River

Traces de neige aux Sisters, pins verts sur les collines,
ciel bleu, lacs en pointillé
Une rivière hystérique, un vieux pont métallique et l’ruban d’bitume chauffé
Et cette fille idyllique sur sa Honda Gold Wing
Qui r’montait vers Portland.
Veste en daim et leggins
Elle tournrai à Junction
Et longerait la Columbia….

Aux motards réparés
L’angel lui a dit d’suite, ta bécane est foirée
Ya une fille en Gold Wing qu’est arrivée c’matin
elle veut bien t’ dépanner.
Mais réver d’l’Oregon quand on est dans l’Essonne
Faut faire bien attentionne
Les routiers dans l’Essonne révent aussi d’l’Oregon


Kolyma

Coule ma sibérienne
L’été est si court l’hiver si long
Avant que les glaces ne te prennent
Et les coquelicots rouges de chagrin

Ici sont mes amours mortes
Parmi les passagers lointains
Ils dorment en terre, sous les trains
Il n’y a plus de lendemains

Au vent glacé de la plaine
Je les entends marcher
Les chercheurs d’or, et leurs sentinelles
L’espoir fait prisonnier

Cherchaient l’ bonheur, la liberté
Comme les sapins, ils sont courbés
Pris dans les tourbillons glacés
Blés fauchés par des dévoyés

BK

Grand froid grand vent du Nord-Est,
Garde les bien, garde les bien
Nous reviendrons les fleurs renaissent
Y a des printemps de liberté
Y a des printemps de liberté

Coule ma sibérienne


On bouge

Viens on lève l’ancre, on en veut des matins
Des ailleurs bleus et du vent chaud dans les pins
Chemins de pierre chemins de rève ou sans fin
On trouvera bien a notre vie un destin

Viens dans tes yeux y a des restes de chagrins
Rien a cirer des aujourd’hui anodins
Rien a tirer même pas le souvnir d’un chien
T’as l cœur a l’ombre mais y a soleil ce matin

On bouge

Viens j’ai trois sous on les mangera en chemin
On est parés on a le cœur marqué au coin
Mais pas la peau, y a des lumières au loin
Viens on s’arrache on s’inventra des lendemains

Viens les souvenirs ça va ça va , ça vient
Laisse tout derrière, on va prendre le prochain train…
Viens la vraie vie ça s’ra ou, ça s’ra toi
Viens on trouvera on trouvera on trouvera


Nos rêves

Mais qui donc a dérobé nos rêves
Mais qui donc a dérobé nos rêves
De soleils radieux, de lendemains qui chantent
De lanceurs d’avions de papiers aux cieux éphémères

Pendant que nous rêvions …
Ils ont remplacé les chemins par des autoroutes
Les images des saints par des idoles à poil
Le sacré par des déesses fertiles
Pour faire croire que sans Dieu, on peut être éternel

Ils ont remplacé la mort à la maison par les soins palliatifs
Branché des tuyaux plein l nez avec des leds autour
Comme un arbre de noël, avec la solitude en prime
Comme un arbre de noël, avec la solitude en prime

Ils c’est nous, qu’est ce qu’on y a gagné ?
Ils c’est nous qu’est ce qu’on y a laissé ?

Va falloir passer a travers les machines
Pour aller respirer au delà des machines
Trouver la liberté, comme les petits poissons

Traverser l’filet, les mailles du filet
Avec juste les lumières du cœur

Et pourvu q’ le pécheur ait encore une âme
Est ce que l pécheur a encore une âme ?

Y a si longtemps q les hordes errantes
Pillent terres d’orient et d’occident
Ceux qui ont cru aux chateaux forts
sont retournés à la poussière
et ceux des croisières de misère
peuplent maintenant le fonds des mers
qu’est ce qu’ils croyaient !
qu’est ce qu’ ils croyaient !

Fuir vers London terre promise
Casser leurs ailes sur les vitres,
Et courir sous les projecteurs
Au travers des zones de transit

Droit vers les villes idylliques
Vantées par les tubes cathodiques
Fuir les ruines pour les usines
Pour sous-vivre dans les pays riches

Dans les restes de ce qui fut Europe
Vers Occident, qui mange les âmes
Vers Occident, qui mange les cœurs
Ou les enfants meurent sur les rives
Est-ce ainsi que les hommes vivent.

Va falloir passer a travers les machines
Pour aller respirer au delà des machines
Retrouver une âme, trouver la liberté
Traverser l filet, les mailles du filet
Avec juste les lumières du cœur
Avec juste les lumières du cœur
Et quelques uns pour y aller


Mary Lou

De toutes façons, tes manières, je m’en fous
Tes allures de guerrière, J e m’en fous
Tes nénés ton derrière, Je m’en fous
Ma vie de poisson rouge, j largue tout

Les cadeaux d’ton grand pére je rends tout
la vaisselle, le bestiaire oui c’est fou
Je balance tout c qui bouge même le gnou
J vais aux champs pétrolifères
D’Mary Lou

BK solo

C’est ma reine, ma gazières Mary Lou
Par devant, par derrière, elle aime tout
Et superbe cavalière sans d sus dsous
Ma santé, mon salaire, j’claque tout

Je finirai en misère, prince des boues
Sodomite pour rentière je m’en fous
Vendeur de poupées mystère, pur vaudou
Je l’aurai tant aimée Mary Lou.

Bk solo


Surfaces

C’est juste un souffle à la surface de l’eau
Une p’tite lumière sur le noir des flots
Juste une onde, un halo
comme ça, comme ça, comme ça, comme ça

C’est comme un souffle au d’sus
d l’Atlantique
Avec des r’flets sur les rouleaux
Une p’tite lueur sur le noir des mots
comme ça, comme ça, comme ça
comme ça

C’est quoi cette chose un peu magique
Qui plane sur l’océan des riens
Qui fait aimer les textes anciens
Oublier les présents kafkaïens

C’est quoi cette chose a la surface du cœur
Qui éclaire la vie qui fait le ch’min
Qui met des fleurs aux lendemains
comme ça, comme ça, comme ça, comme ça


Tonalité + 1

C’est quoi cette chose à la surface du vent
Trois étincelles sur un feux d’camp
Du rêve dans les yeux des enfants
Et tout c’qui fait le cœur content

Est ce qu’ y a queq’chose est ce qui a quelqu’un
Ou juste le cœur qui fait du sien ….
Ou juste le cœur qui fait du sien ….

Comme ça comme ça comme ça, comme ça


Des voyages

Oh…t’as du en faire des voyages
T’as du en voir des mirages
T’as du en boire sec des breuvages
De toutes les sortes, des pas toujours sages

T’as du en ouvrir des corsages
T’as du en promettre, des iles, des plages
Des réves bleus, à des femmes de tous ages
Avec ta belle gueule , tes costars, ton bronzage

Solo

Parait q’tu en a fait des trucages
Q’t’en a volé oui,oui, des héritages
Q’t en a r tournées des banquières.. très sages
Q’ t a du t’ barrer souvent à caus d’ l’orage

Solo

Maintenant q’te vla en retour d’age
Qui n’ reste plus rien, plus rien… de tes braquages
Plus d’rombière pour t’remettre du chauffage
Plus personne pour te sauver du naufrage
Sauf p t étre, au poker, au bar d’la plage

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